Dépasser la maladie pour devenir champion de sa santé
Overcome illness to become champion of your health
L’Association Lointaines Destinations (ALD) a pour but la promotion de l’activité physique et/ou sportive auprès du grand public et plus particulièrement des malades chroniques.
Elle soutient des projets sportifs dont celui de Romain Chatton, malade chronique et skipper de course au large à la voile en solitaire dans la Classe Mini 6.50.
Elle souhaite également réunir des personnes malades voulant se soutenir mutuellement dans la conduite de leur projet sportif.
The Association Lointaines Destinations (ALD) aims to promote physical and/or sporting activity to the general public and more particularly to chronically ill people.
It supports sports projects including that of Romain Chatton, a chronically ill person and solo offshore sailing skipper in the Mini 6.50 Class.
It also aims to bring together sick people who want to support each other in carrying out their sports projects.
La promotion de la pratique de l’activité physique et /ou sportive auprès du grand public et en particulier des personnes atteintes de maladies chroniques
La participation au circuit mini 6.50 en Mediterranée les saisons 2024 et 2025
8 octobre 1977, Penzance (Royaume-Uni), 24 voiliers de 6,50m prennent le large avec un seul marin à bord vers Antiguavia Ténérifeaux Canaries…
Les plus petits voiliers de la course hauturière sont nés et leur course favorite : la Mini Transat. Toutes les années impaires, ils vont se retrouver sur leur terrain de jeu favori : l’Atlantique.
Les Français deviennent d’année en année majoritaires parmi la flotte. C’est donc tout naturellement que l’organisation traverse la Manche. En1984, Jean-Luc Garnier, journaliste et passionné de ces ”Minibolides”, prend la relève du britannique Bob Salmon qui, après l’organisation de quatre éditions, souhaite passer le flambeau. Voiles 6,50, association loi 1901 et club affilié à la Fédération Française de Voile, est créée et organise le Mini-Fastnet, une course annuelle faisant l’aller et le retour entre la Bretagne et le phare irlandais. Un nouvel élan est donné pour les Minis.
Aujourd’hui, la Classe Mini rassemble environ 300 adhérents dont une grande majorité de coureurs, de tous les horizons socio-professionnels, du charpentier à l’ingénieur, de l’infirmière au steward, du journaliste au skipper professionnel.
La Classe Mini est avant tout l’association de tous les passionnés de ces petits voiliers fabuleux, ayant envie de partager les surfs endiablés, les galères de budget, les journées à attendre le vent et tous les instants de bonheur que l’océan nous offre.
Deux fois plus petit qu’un Classe 40 , trois plus petit qu’un Imoca le mini 6.50 est le plus petit bateau monocoque de course au large. Il est depuis longtemps le laboratoire d’expérimentation pour les autres catégories et probablement la meilleure école pour appréhender la course au large.
Voici une série de petites vidéos qui vous expliquent comment Oberiant notre mini 6.50 n°391 fonctionne.
Oui, sur ces vidéos c’est un Imoca que vous allez voir. Notre bateau est trois fois plus petit…c’est un peu un mini Imoca et son principe de fonctionnement est le même.
Alors découvrez le monde passionnant de la course au large et comment tout cela fonctionne.
Un grand merci à initiatives.fr pour nous accorder l’usage de ces vidéos
Il existe deux types de bateaux : Série et prototype.
Les premiers sont plus simples, plus fiables mais peut-être un peu moins performants… cela dépend aussi du skipper. Les seconds ont souvent été un laboratoire d’expérimentation qui a beaucoup servi aux Imoca (bateaux utilisés pour le Vendée Globe) par exemple.
Le Voilier sur lequel Romain va courir est un prototype d’ancienne génération construit par le célèbre skipper Partick Morvan. C’est l’un des premiers bateaux de course à dérive asymétrique.
Deux circuits existent en France, celui de la côte Atlantique, très fortement animé par les pôles d’entrainement qui s’y trouvent et celui de la Méditerranée qui repose sur la mise en place de compétitions par des clubs de voile italiens, espagnols et français.
A ce jour, il n’existe pas de pôle mini 6.50 sur la côte méditerranéenne française.
Romain ambitionne de participer à un maximum de ces courses.
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